Ptite racaille Italienne, sans peur et sans gène, toujours partant dans tous les coups foireux, Tonio-Andréa a le chic (et le choc) pour se glisser systématiquement dans toutes les galères imaginables.
Toujours en mouvement, haut en couleur, en baratin, en frime, en lumières même, cette petite racaille ne sort jamais sans un drapeau italien (sur sa veste, sur son jean, sur son slip même) et une ceinture clignotante à son prénom. Il ne l’avait pas pour le tournage, grosse déception.
Le texte de la ceinture n’est pas réglable et c’est bien dommage. On pourrait y lire, selon les heures de la journée « ciaowesh (en un seul mot) j’ai un trop bon plan tu viens ? », puis « euh je sais plus trop la », rapidement suivi de « au secours », puis encore « aie aie, au secours, aie, noooon », suivi de quelque chose qui ressemble à « glourp » (bruit du sperme avalé :- )
Bref, Tonio occupe l’espace. On regrette juste qu’à défaut d’intelligence, aucun instinct de survie ne prenne le relais. Tout ce qui est foireux l’attire comme un aimant, et ca se termine TOUJOURS mal.
Du coup on adore cette petite merveille, cul et bouches bien ouverts à force d’être forcés, au physique de petit minet imberbe, victime autodésignée pour tout ce qui bourrine et défonce, mais qui survirilise un machisme italien surjoué hyper excitant auquel on ne peut pourtant croire à peine plus de deux minutes.
Tonio-Andréa finit TOUJOURS ses journées enculé.
On pourrait d’ailleurs le soupçonner d’aimer ça, même si, tout comme son personnage dans Costla 4, Greg, il a toujours l’air un peu sonné et démoli à chaque nouveau viol… comme si c’était le premier.
A suivre, à prendre, à admirer, ce ptit voyou est un des meilleurs acteurs porn de sa génération, malgré une carrière hypra courte. Malheureusement.