Manuel Ferra, est, disons, le gars tranquille, qui ne se prend pas la tête et profite, tranquille, des bonnes ocaz. Difficile de faire résumé plus court et plus parlant. J’ai tout dit.
Il suffit de voir dans Costla 4 la simplicité avec laquelle il se tape ce dieu vivant qu’est Vincent Lafitte, ce magnifique félin qui lui ouvre la porte à poil, la queue raide, toute chaude sortie du cul de Clément, la gentillesse désarmante, presque timide, avec laquelle il emballe aussitôt et direct le dieu, le retourne, le fourre, le démonte gentiment, l’encule bien à fond, le fait couiner, puis lui foutrer les fesses, le faire juter, bouffer sa jute, lui rouler quelques gamelles au jus, avant de repartir toujours aussi bonhomme et tranquille, comme si rien ne s’était passé…
Tout juste si on ne l’imagine pas ensuite rentrer chez sa femme (et on se pose d’ailleurs sérieusement la question à la prod), ou repartir au boulot.
Tranquille, mais terriblement efficace… Vincent s’en souvient encore. Manuel aussi.